Une fois c'est pas coutume, nous allons commencer par la conclusion.
Le WEB sera définitivement en 3D !
Afin de préserver le spectaculaire et d'éviter à certains de se noyer dans des algorithmes cérébraux ennuyeux, nous allons d'abord présenter les résultats pour ensuite remonter au "comment
faire" pour parvenir à un tel résultat.
Le Web 3D n'a d'intérêt que si l'on réussit à créer un environnement sur le WEB suffisament proche de la réalité (donc en 3 dimensions), pour qu'à terme les deux soient superposables., ne laissant
plus aucune place au conventionnelles pages en 2 dimensions (2D).
Voici une démonstration pour le moins spectaculaire des désormais possibilités offertes par l'application WEB de Google Earth. Thanks to Google Corp !
Le propriétaire de la parcelle cadastrale
(en violet) se nomme visiblement Google. La vue qui nous est offerte est en perspective (de type isométrique). En fait nous sommes ici dans l'application de Google Earth, en train de manipuler le
globe terrestre. Nous pouvons choisir le mode de visualisation (fly, examine). Rien de nouveau sur ce point déjà très complet, made in Google.
Jouer avec notre périphérique nous amène à pouvoir découvrir toute la richesse de la région. Les fonctionnalités désormais classiques de Google Earth nous permettent de nous orienter selon la
vue de notre choix, de zoomer, comme dézoomer. Le pont a été construit en Google Sketchup. Des vues complémentaires telles
Google Street View nous permettent de voir les meilleurs points de vue.
Revenons progressivement à une vue orthogonale (perpendiculaire à la carte). ... La carte se redresse, la sensation de relief - bien présente - disparait peu à peu.
La vue est complètement perpendiculaire. En jouant avec un seul bouton, nous pouvons passer désormais de Google Earth à Google Maps et son lot de fonctionnalités désormais
bien connu sinon maitrisé.
C'est le plugin Google Earth qui rend tout ceci possible. Ce n'est pas Windows de Microsoft.
Simple explication (par Google) sur
l'interfaçage des technologies requises.
De retour sur notre parcelle cadastrale, mais cette fois sous Google Maps. Les nouvelles fonctionnalités désormais disponibles permettent de se créer son propre territoire. Ici appelé "My Earth
Demo". On voit une parcelle mauve, créee par des points plaqués sur un plan 2D à plat. Les points sont éditables. La périmètre se modèlise à la façon d'un modeleur classique.
La désormais très classique vue verticale de Google Maps. Après avoir choisi d'afficher mes propres bornes et autres icones, me voici prêt pour une parcellisation de notre terrain.
Je choisi d'utiliser Google pour positionner, par exemple, mon entreprise, et d'y rattacher toutes les infos qui me semblent utiles de lui être associées.
Je suis sur la page de Google Earth pour
télécharger la dernière version et me documenter sur les outils qui vont m'être utiles pour faire rayonner mon entreprise.
Afin de pouvoir présenter mon savoir-faire au plus grand nombre, je n'hésite pas à télécharger le plug-in qui va me permettre de préparer ma mise en scène. Ce plugin, c'est un ActiveX comme
les autres. Ni mieux , ni moins bien expliquée que pour un autre (
Turntool par exemple), la méthode est toujours la même. Suivre la progression de l'installation depuis la zone
immédiatement située sous les onglets de mon navigateur. Répondre OUI ou YES au fil des questions. Ce plug-in est de taille modérée. Son installation demandera sans doute 60 sinon 120 secondes sur
des machines standard (pour une même configuration, installer le plugin Turntool demandera de 10 à 30 secondes). Pendant ce temps, je ne m'impatiente pas et ne clique surtout pas partout.
Si je devais m'énerver, ce qui ne servirait à rien sinon perdre du temps, je n'aurais qu'à m'en prendre qu'à moi-même.
Pourquoi en telles circonstances ? Sans doute que mon ordinateur aura été mal choisi, aura été laissé à l'abandon quelques semestres, sans entretien. En tant que professionnel, mon ordinateur n'est
pas une poubelle. C'est mon outil de travail. Sur mon desktop, changer de carte graphique ne me coûterait que 70 euros TTC pour avoir une machine spectaculairement efficace capable de digérer
les effets graphiques (GPU) les plus bluffants. Toujours sur mon desktop, j'aurai pris soin de nettoyer tous les démons qui tournent et mangent toute la puissance théorique de ma machine. Un
freeware tel
AD-Aware permettra de faire le ménage requis. Si je suis 100% asservi aux laptop
(ordinateurs portables), il me faudra alors consacrer un budget à partir de 650 euros TTC pour avoir une machine capable de naviguer sur le Web-3D. Je devrais avant d'acheter mon matériel, penser à
demander quelles sont les caractéristiques majeures de mon outil (vitesse disque dur, RAM, carte graphique). J'aurais préalablement spécifier que je ne suis pas un joueur vidéo (quoique un
peu...!!) et que je compte bien utiliser mon ordinateur pour surfer sur du Web-3D, avec l'objectif de me faire remarquer comme professionnel !
La petite phrase qu'il faut impérativement lire... et avoir envie de lire.
C'est fou ce que parfois on peut cacher - sous quelque chose de ridiculement petit sinon insignifiant -.
En personne éclairée, après avoir lu, je décide de suivre la procédure pour me prouver que j'ai bien fait, je prends des notes afin de pouvoir en parler autour de moi. Prêt à communiquer sur mes
exploits et expériences réussies.
Je suis clairement invité à exécuter un
Active X. Mon cerveau me dit que je ne risque rien et m'invite à la prudence normale. Une enquête préalable m'aura indiquée qu'il n'y a
aucun risque. Je connais l'éditeur ou bien l'éditeur m'est recommandé par quelqu'un de mon réseau social. Je clique, prêt à vivre une expérience sans retour possible au Web-2D.
De nombreuses fonctionnalités me sont proposées dans le Bureau 3D que je visite. Parmi elles,
Google Maps.
Je clique.
Un tour d'horizon, en vraie 3D me laisse découvrir une véritable vitrine technologique... Je poursuis ma promenade.
Je passe de mini-showroom en mini-showrooms en vraie 3D. Au fait, ça porte un nom : au label
3V-Vraie-Visite-Virtuelle-Valued-Virtual-Visit.
Ici le showroom de la société INAPA
www.inapa.fr . La première personne visible est son Directeur Marketing et Stratégie pour qui, être sur le WEB-3D, est plus
qu'un stratégie.
Voir témoignage et la réalisation
Bureau 3D Custom energized by
New3S)
A chaque rencontre, lors de la soirée virtuelle, j'ai cliqué sur les
boutons que chacun des networkers arborait. J'y ai vu le réseau, leur réseau... jusqu'au moment où l'un d'entre eux m'a aiguillé sur son Bureau 3D. Son Espace 3D de travail sur le WEB-3D !
Tout d'abord, j'ai vu des Espaces 3D à façon de Stands 3D et de Bureaux occupés par de vraies personnes :
COM'PROMIS , Alano EDZERZA
www.edzerza-gallery-3d.com de VANCOUVER, Romain de SAULIEU de
www.bnifrance.fr à AUTEUIL, Jean-Philippe LAMBELET de www.1coach.ch en SUISSE, Laurent MELLAH de www.savnetwork.com , Caroline
ZAWADZKI, Nathalie MALENICA des FEMINISSIMES, Jean-Claude MOREL de http://affairesetconvivialite.over-blog.com/ et tant
d'autres...
Afin de venir à la rencontre des habitants de cette
autre
planète numérique, j'ai d'abord été invité à télécharger un plug-in nommé
TURNTOOL. 10secondes ont fait l'affaire sur ma machine bien entretenue.
Histoire Réelle - Histoire vécue. Mon nouveau mode de vie.
C'était l'autre jour... dans le Monde réel. Un grand spécialiste des réseaux sociaux en France,
Olivier Luisetti, m'a interpellé sur une solution fraichement parue, nommée
Networking 3D. Localisée sur le WEB-3D, sous le nom de
Luisetti Networks Tower, elle me permet -
m'a t il dit - de rencontrer en 3D des personnes tout aussi curieuses que moi. Tout y est. Même l'Hôtesse virtu-réelle (tantot réelle, tantot virtuelle) qui me guide et nous fait découvrir cet
univers incroyable. Elle se nomme Marie-Christine DORANGE !
Je suis allé voir...
A force d'entendre parler de
e-Business-3D j'ai fini par aller me renseigner... pour découvrir un univers hors du
commun.