Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3D Web Center - Portail de Communautés et d'Espaces 3D

Un regard d'innovant sur le monde du WEB ! En route vers le futur : Faits majeurs, Tendances, Curiosités contemporaines ... bientôt réalités de notre quotidien. Le WEB, matière vivante !

Articles avec #references - sources catégorie

Dans 5 à 7 ans, "tout le monde [pourra] afficher du HTML 5"

Publié le 17 Octobre 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Dans 5 à 7 ans, "tout le monde [pourra] afficher du HTML 5"

Par Boris Manenti

23 avril 2010

HTML 5, bienvenue dans le web de demain

Sans-titre-1.jpgLe World Wide Web Consortium* (W3C) a invité le Nouvelobs.com à découvrir leur nouveau bébé : le HTML 5. Philippe Le Hégaret, responsable du domaine interaction chez W3C, et Dominique Hazaël-Massieux, responsable de l'activité Web mobile du W3C, ont présenté "le futur du web".

Inventé en 1991 par Tim Berners-Lee, alors chercheur au CERN, le HTML est un langage informatique composé de balises destiné à créer des pages web. La dernière version, dites HTML 4, datait de 1997.

Le HTML 5 s'est donc imposé de lui-même pour enfin "prendre en compte les nouveaux besoins technologiques sur le web" et ainsi répondre aux attentes des internautes, comme sur la vidéo par exemple, explique Philippe Le Hégaret.

"Simplifier, améliorer et adapter le web aux nouveaux usages"

Philippe Le Hégaret et Dominique Hazaël-Massieux (DR)

Concrètement, le HTML 5 simplifie le codage pour obtenir une meilleure intégration d'outils comme les lecteurs de vidéo et offrir une vitesse décuplée. "On va vers un web où l'on aura plus besoin de se gratter la tête et faire du code pour contourner les imperfections actuelles", résume-t-il.

Si le HTML 5 va simplifier la vie des développeurs de pages web, les utilisateurs devraient en voir les conséquences car la liste des apports du HTML 5 est longue. On peut citer l'intégration facile et rapide de vidéo, des fonctions de géolocalisation, la possibilité d'adapter les éléments d'une page en fonction de la taille de la fenêtre, etc.

"Les possibilités graphiques (avec SVG et les APIs pour la 2D et la 3D) seront les nouveautés les plus visibles", avance Philippe Le Hégaret. "Du point de vue de l'utilisateur, il y aura de plus en plus d'applications disponibles sur le web, sans avoir besoin d'installer un logiciel sur son ordinateur." On peut ainsi imaginer une application comme Google Earth directement accessible via le navigateur.

Côté mobiles, Dominique Hazaël-Massieux explique que le HTML 5 permettra de "développer des applications directement accessibles via les navigateurs". "L'utilisateur de mobile pourra ainsi utiliser ses applications favorites comme la géolocalisation, les e-mails, les SMS, la messagerie, la vidéoconférence, la réalité augmentée... directement dans le navigateur web du téléphone."

En somme, "le HTML 5 vise à simplifier, améliorer et adapter le web aux nouveaux usages", résume Philippe Le Hégaret.

Dans 5 à 7 ans, "tout le monde [pourra] afficher du HTML 5"

Pour ce qui est de la mise en place, "HTML 5 commence déjà à être implémenté dans les navigateurs", rapporte-t-il. "Il est possible d'utiliser la vidéo avec HTML 5 dès aujourd'hui."

Le problème de la généralisation repose simplement sur l'adoption par les internautes des navigateurs de dernière génération. "Il faudra attendre entre 5 à 7 ans avant que tout le monde possède un navigateur capable d'afficher du HTML 5", pronostique Philippe Le Hégaret.

Néanmoins, si "HTML 5 est le futur du web", il regorge encore de nombreux problèmes. Il reste beaucoup de travail au W3C pour normaliser le code et optimiser l'interopérabilité entre les navigateurs. "Il nous reste encore beaucoup de tests pour ancrer HTML 5 et obtenir un web interopérable", précise Philippe Le Hégaret.


* Le World Wide Web Consortium (W3C) est un organisme international à but non-lucratif chargé de promouvoir la compatibilité des technologies web telles que le HTML. Il est actuellement présidé par Tim Berners-Lee.

Lire la suite

Le World Wide Web Consortium (W3C) à l'Heure d'Internet sur téléphone

Publié le 17 Octobre 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Le World Wide Web Consortium (W3C) à l'Heure d'Internet sur téléphone

 

Interview de Dominique Hazaël-Massieux réalisée par Boris Manenti
http://geekcestchic.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/10/17/a-long-terme-les-appstore-vont-disparaitre.html 


17 octobre 2010

"A long terme, les AppStore vont disparaître"

dom.pngA l'occasion d'une conférence du World Wide Web Consortium* (W3C) dédiée à l'Internet sur téléphone, Nouvelobs.com a interrogé Dominique Hazaël-Massieux sur le web mobile du futur. Le responsable de l'activité web mobile au W3C apparaît comme passionné par ces nouveaux téléphones ultra connectés qu'il voit comme des "ponts entre le monde virtuel et le monde réel". "La multitude de capteurs sont autant de possibilité pour interagir avec le monde", plaide-t-il.

 

Nouvel Observateur : Quel est le rôle du W3C vis-à-vis du mobile ?

Dominique Hazaël-Massieux : Il y a cinq ans, le W3C a commencé à se pencher sur le web mobile, à une époque où il n'était envisagé que comme une nouvelle version du WAP. Une véritable expérience web mobile est arrivée avec les Smartphones. Pour dresser un bilan de ces cinq dernières années, je dirais que la première chose a été d'apporter le web au mobile, il faut maintenant apporter le mobile au web. Concrètement, il s'agit maintenant d'utiliser les atouts du téléphone portable - ses fonctionnalités, ses capteurs, etc. - pour développer l'expérience web sur mobile. Le W3C accompagne cette transformation. En 2008, nous avons désigné les "bonnes pratiques" pour que les développeurs adaptent le web aux contraintes du mobile. Maintenant, nous allons compléter ces conseils pour les applications web mobiles. Le marché de l'Internet sur téléphone tend vers des applications web mobile.


N.O. : Qu'entendez-vous par "application web mobile" ?

D. Hazaël-Massieux : Il s'agit d'utiliser les atouts du mobile dans une application lancée par le navigateur. Tout passe par le navigateur web. Le développement se rapproche d'un site, mais la présentation est comme une application. Les applications Facebook, Gmail ou Google Maps présentent sur de nombreux téléphones sont des applications web mobile. Les utilisateurs y sont déjà largement confrontés. Ils passent par des sites web, et non des applications dédiées, mais ne s'en rendent pas compte. Cette approche va se démocratiser dans les années à venir et devrait largement se déployer dans les deux prochaines années.


mobiwebapp.pngN.O. : Quel est l'avantage de ces "applications web mobile" ?

D. Hazaël-Massieux : Une application n'aura besoin de n'être développée qu'une seule fois pour être disponibles sur tous les systèmes et donc tous les terminaux. Aujourd'hui, la grande question concerne les systèmes d'exploitation. Nous sommes face à une fragmentation très importante entre Apple (iOS), Google (Android), Microsoft (Windows 7), Nokia (Symbian), Samsung (Bada), etc. La force des applications web est d'être disponibles sur une gamme beaucoup plus large de téléphones, mais aussi sur les ordinateurs, la télévision, l'automobile... Le web étant ouvert et très accessible aux développeurs, nous allons avoir une richesse incroyable d'applications, à la place d'un contenu décidé par quelques compagnies privées. Nous visons à la démocratisation.

N.O. : A quelle échéance surviendra cette démocratisation ?

D. Hazaël-Massieux : D'ici deux ou trois ans, environ 80% du catalogue d'applications disponibles sur des terminaux tels que l'iPhone trouvera un équivalent avec les applications web mobile. Celles-ci seront capables d'utiliser tous les capteurs et spécificités du téléphone. Géolocalisation, appareil photo et vidéo, boussole, micro, accéléromètre, gyroscope... tout fonctionnera via le navigateur d'ici l'an prochain. Pour l'heure, il y a encore quelques difficultés pour les jeux vidéo poussés avec de la 3D. La standardisation du web mobile prendra encore un ou deux ans.


N.O. : En quelque sorte vous prédisez la mort des AppStore ?

D. Hazaël-Massieux : Les AppStore me rappelle les premières années de l'Internet où dominaient les répertoires de sites web. Aujourd'hui, les portails ont pratiquement disparus au profit des moteurs de recherches. Avec les applications, c'est pareil. Aujourd'hui, trouver l'application dont on a besoin n'est pas toujours aisé. Avec les applications web mobile, ce sera beaucoup plus simple. Je ne veux pas prédire la mort des AppStore, du moins à court terme. Sur plus long terme, je pense qu'ils seront intégrés dans une approche beaucoup plus globale ou qu'ils vont disparaître.


045_IS098U69L.jpgN.O. : Les constructeurs, souvent propriétaires de ces AppStore, sont-il prêts à voir disparaître une importante manne financière ?

D. Hazaël-Massieux : La monétisation des applications web mobile est une question importante. Aujourd'hui, la vente directe d'applications rapporte des bénéfices énormes. On assiste à des premières tentatives de marchandisation des applications web mobile, avec des plates-formes comme Open App Market. Les fabricants ne peuvent écarter la question de la monétisation mais également des applications web. Ces applications web rendent leur produit plus attractif. Un nouveau modèle devra être trouvé.

 

* Le World Wide Web Consortium (W3C) est un organisme international à but non-lucratif chargé de promouvoir la compatibilité des technologies web telles que le HTML. Il est actuellement présidé par Tim Berners-Lee.


A lire aussi :
- HTML 5, bienvenue dans le web de demain

Lire la suite

HTML5 promet de révolutionner notre usage du Web

Publié le 14 Octobre 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

par Guénaël Pépin, ZDNet France. Publié le 13 octobre 2010

 

Dossier - Plus de 10 ans après la publication de la norme HTML4, son successeur HTML5 promet de révolutionner notre usage du Web. Rétrospective et tour des attentes avec Tristan Nitot, président de Mozilla Europe et Daniel Glazman, cochairman du groupe de travail CSS au W3C.

 

VOLET 1 - Evolution ou révolution ? HTML5, la future version du langage de création des pages Web, attise autant la curiosité, l'envie, que la méfiance. Il est le successeur de HTML4, normalisé par l'organisme de définition des standards World Wide Web Consortium (W3C) en 1997.

Le Web est donc resté 13 ans sans évolution de son standard fondateur, une éternité durant laquelle les sites ont évolué, parfois de manière non standard. Le consortium n'est pourtant pas resté les bras croisés, comme l'explique Daniel Glazman, cochairman du groupe de travail sur le langage CSS au W3C.



1997 - 2010 : 13 ans de travail sur XHTML2 et HTML5



« Pendant toutes ces années, le W3C s'est d'abord focalisé sur XHTML 1.0 (la XML-isation de HTML 4), XHTML 1.1 (la même chose modularisée et qui n'intéresse quasiment personne) et surtout XHTML 2 en 2001 » retrace-t-il.

XHTML 2 « tentait d'occuper le même espace et était supposé être plus propre que le modèle HTML d'origine ». Il était donc incompatible avec l'existant (HTML4 et XHTML 1.0), « ce qui aurait obligé tous les éditeurs de site Web à investir énormément de temps et d'argent pour évoluer ».

Pendant ce temps, le HTML était laissé sur le bord de la route. « Le Working Group qui travaillait là-dessus ne voulait pas s'occuper de HTML4, tous les retours sur HTML4 et même les demandes d'harmonisation avec des standards plus récents (la programmation objet (DOM) par exemple) étaient rejetées. »

 

Le HTML laissé sur le bord de la route

Un enfermement qui a mené à la création d'un groupe, externe au W3C, pour travailler sur la cinquième version du HTML. « Ce comité, c'est le WHAT Working Group (WHAT WG), activement soutenu par Mozilla, Google, Apple et Opera. »

Le W3C a enfin abandonné le XHTML 2 au profit d'un travail sur HTML5, initié par le WHAT WG. Un choc des cultures : « Le W3C suit un processus assez (trop ?) rigoureux mais l'expérience des 16 ans d'existence du W3C a montré pourquoi c'est nécessaire ; de son côté, le WHAT WG fonce en ne se préoccupant quasiment de rien si ce n'est de la technique », poursuit Glazman.

 

Internet Explorer 6 et « la stagnation du Web »



Pour Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, HTML4 est resté la norme tout ce temps à cause d'un autre facteur : la stagnation des navigateurs Web. En 2001, Microsoft lance Internet Explorer 6, une version majeure qui dominera le marché pendant de longues années, sans pour autant respecter les standards ou évoluer.

« C'était une époque où tout le monde développait des sites pour IE5 et 6, alors qu'on savait que ce navigateur n'avait pas d'avenir. On voyait la promesse du Web s'éloigner » se rappelle-t-il.

Selon le président de Mozilla, « cette période s'est terminée à la sortie de Firefox 1.0, fin 2004, ensuite rejoint par Chrome. À partir du moment où les éditeurs de navigateurs ont commencé à pousser le standard, les choses ont avancé rapidement, et surtout concrètement, avec le début des implémentations. »

Cette stagnation a aussi nourri le succès d'un logiciel propriétaire présent sur la majorité des ordinateurs aujourd'hui : Flash, de Macromedia (ensuite racheté par Adobe). Le lecteur a permis d'affranchir le Web des limites du HTML : animations complexes, audio, vidéo... au prix de l'utilisation d'une technologie non normalisée.

Une nouvelle promesse pour le Web

Pour revenir dans la course, la norme HTML5 se devait donc de proposer des innovations importantes. D'abord, de nouvelles balises « sémantiques » censées mieux définir le contenu d'une page (entête [header], menu [nav], section de page [section], article, pied de page [footer]...).

Ensuite de nouveaux types de contenus : l'audio, la vidéo, les animations 2D et 3D (canvas, pour créer des logiciels et jeux).

Il étend aussi les interactions avec le système : le Web « hors ligne » (stockage de contenus et utilisation de sites hors connexion), l'édition de contenus dans la page, le glisser-déposer, la géolocalisation, la détection de l'orientation ou encore l'accès à la caméra.

Pour Daniel Glazman, « le plus intéressant dans HTML 5 tient en deux morceaux : ces nouveautés et les trous de HTML 4 enfin comblés ».

Pour Tristan Nitot, c'est aussi une bataille entre modèles propriétaires et libres. « Le vrai défi du Web, c'est de se montrer pertinent en tant que plate-forme de développement face à deux grands adversaires » commente-t-il. « Sur le bureau, les technologies propriétaires que sont le plug-in Flash et dans une moindre mesure Silverlight, et sur le mobile, les applications natives distribuées par les app stores. »

 

Une bataille entre modèles propriétaires et libres

Sur le premier terrain, le succès du Web est pour lui garanti : « Le Web offre une ouverture (on peut interconnecter ses composants dans des mash-ups) et une base de développeurs sans commune mesure ». Sur mobile, « tout reste à inventer, d'autant que les app stores répondent aux attentes des utilisateurs. Mais le Web n'a pas dit son dernier mot ».

Daniel Glazman explique que « le but est de donner au Web un format ouvert, moderne, interopérable et répondant aux attentes et besoin des auteurs de sites. Cela finira par tuer Flash et Silverlight mais ce ne sera qu'un effet de bord, pas un but en soi ».

La bataille de l'ouverture ne serait enfin pas si manichéenne : « Apple contribue à un HTML5 ouvert en vendant des hardwares fermés et des contenus inexportables, Google contribue à un HTML5 ouvert en vendant de la publicité et un moteur de recherche fermé, et Opera contribue à un HTML5 ouvert alors que son logiciel n'est pas Open Source... ». Bref, les partisans de HTML5 ont encore des choses à prouver...

 

Les éditeurs de navigateurs, premiers promoteurs du HTML5



Pour tenir ses promesses, le « Web » dispose d'un soutien très fort des éditeurs de navigateurs. Même si la norme HTML5 ne sera pas arrêtée avant un très long moment, les principaux navigateurs (Internet Explorer 9 compris), intègrent déjà ses éléments en travail.

La communication autour de la nouvelle norme est aussi remarquable, notamment du côté de Google et Apple.

« Disons que l'enthousiasme des services marketing dépasse parfois la pensée des développeurs, et c'est bien naturel quand on se souvient de la longue période de stagnation du Web, à l'époque où Internet Explorer monopolisait le marché sans pour autant évoluer » justifie Tristan Nitot.

« Si l'exagération de certains discours marketing est le prix à payer pour retrouver l'innovation sur le Web, je trouve pour ma part que c'est un prix fort raisonnable » ajoute-il.

 

Encore loin d'être normalisé

Cet empressement ne serait d'ailleurs pas un problème, les navigateurs devant respecter la norme pour pouvoir s'y associer. Pour Daniel Glazman, « beaucoup d'erreurs dans un rapport de conformité de navigateur visible par tous fait bien plus de mal que tous les éléments marketing employés par la concurrence ».

La norme n'est enfin pas prête d'être finalisée. « Nous ne sommes pas ici en train de parler d'un meuble ou d'un kilomètre d'autoroute pour lesquels on peut donner des deadlines relativement précises (encore qu'en France, on soit spécialistes des deadlines non tenues...). »

« Il faut rédiger, faire des compromis, traquer les imprécisions, les incohérences avec d'autres spécifications, écrire des dizaines de milliers de tests qu'il faut valider, écrire le code dans les navigateurs qui implémentera ces fonctionnalités pour les tester. Bref, ce n'est pas pour demain » conclut le cochairman du groupe de travail CSS.



Sommaire Dossier HTML5
1 - Petite histoire et promesses d'une évolution majeure du Web
2 - Une nouvelle porte pour les applications riches sur le Web
3 - De nouveaux outils pour la sémantique et le référencement
4 - Le remplaçant de Flash sur la vidéo ?
5 - HTML5 pourra-t-il tenir ses promesses ?

Lire la suite

Ce logiciel permet de reconstituer à distance, dans un temps record, un environnement urbain sous forme 3D

Publié le 31 Mai 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Thales reconstitue une ville en 3D à partir d'images satellites

[ 31/05/10  ] Les ECHOS

Avec son logiciel Geomaker, Thales met à la portée d'utilisateurs militaires ou civils un outil qui modélise un environnement urbain avec une rapidité et une précision qui ouvrent de nouvelles perspectives.

Des ressortissants français sont pris au piège dans une ville en guerre à l'autre bout du monde. Le temps presse. Il faut monter une opération commando pour les conduire de manière sécurisée à l'aéroport en évitant les « snipers » qui pourraient menacer le convoi le long d'un trajet dont on ne sait encore rien à Paris.

Le scénario mis en scène par Thales pour démontrer l'efficacité de son nouveau logiciel de modélisation urbaine, Geomaker, n'a malheureusement rien d'extravagant. « Ce logiciel permet de reconstituer à distance, dans un temps record, un environnement urbain sous forme 3D en exploitant des images satellites de haute résolution », explique Didier Seyler, directeur du département Geospatial Intelligence, spécialisé dans l'information géographique au sein de la division Thales Communications.

Reconstituer le théâtre d'une opération militaire à partir d'images satellitaires n'a rien d'une nouveauté. Thales, qui travaille sur le sujet depuis plus de quinze ans, dispose des algorithmes permettant de rectifier les images brutes pour les faire « coller » à la réalité du terrain. Le groupe de défense et technologies est également passé maître dans le travail d'interprétation et d'extraction des informations issues de ces images, une lourde tâche qu'il n'est pas possible d'automatiser entièrement.

Précision au centimètre

« Il faut nécessairement recourir au savoir-faire d'un opérateur pour exploiter intelligemment les données. La grande force de Geomaker est d'assister cet opérateur pour lui permettre d'extraire les informations dont il a besoin avec des niveaux de productivité et de précision inédits dans nos précédents systèmes », insiste Yvan Ghirardelli, responsable du pôle d'excellence cartographie de Thales Communications.

L'essentiel du travail s'effectue avec un dispositif 3D. Equipé de lunettes stéréoscopiques et d'un écran à filtre polarisant, l'opérateur relève les informations satellitaires qu'il souhaite intégrer au modèle. Ces informations sont issues de prises de vues sous différents angles, afin de prendre en compte le relief. La puissance de calcul et l'ergonomie du logiciel permettent de reconstituer en une dizaine d'heures l'équivalent de 2.000 bâtiments, ce qui nécessitait auparavant plusieurs jours de travail. Les dimensions et les altitudes des immeubles et des rues sont reconstituées avec une précision de quelques dizaines de centimètres.

« La forme et la hauteur des bâtiments sont extraites des images satellites par simple pointage par l'opérateur. La modélisation des textures des toits et du sol se fait quant à elle automatiquement, à partir de ces mêmes images. L'opérateur peut également exploiter des images prises au niveau du sol, accessibles sur le Web par exemple, pour reproduire la texture des façades », précise Yvan Ghirardelli. Transmis aux systèmes opérationnels, le modèle permet par exemple aux équipes qui interviennent sur le terrain de sécuriser le trajet d'un convoi en tenant compte de la position des « snipers » ou d'autres menaces.

« Si un nouveau tireur est repéré sur un toit ou à une fenêtre, les informations sont transmises au système central qui recalcule quasi instantanément un nouvel itinéraire protégé en tenant compte de l'angle et de la portée des possibles tirs », explique Yvan Ghirardelli.

Geomaker est dérivé d'un système développé à l'origine pour les besoins de la défense. Opérationnel à ce niveau de maturité depuis mi-2009, ce logiciel a été conçu avant tout pour des applications militaires ou de police et de gendarmerie, de type guérilla urbaine, sécurisation d'un trajet ou d'un sommet de chefs d'Etat. « Mais devant l'augmentation de l'offre et la qualité des données sources aujourd'hui disponibles, de nouveaux besoins ont été définis dans le domaine civil, pour la sécurisation d'événements ou de sites sensibles (un aéroport, une centrale nucléaire…) ou la préparation d'opérations humanitaires », se félicite Didier Seyler.

La simplicité d'utilisation du logiciel prend alors tout son sens. Assisté par l'ordinateur, un technicien « lambda » apprend très rapidement à tirer de Geomaker une mine de renseignements géographiques très précis.

PHILIPPE DESFILHES, Les Echos

 

article sous : http://www.lesechos.fr/info/aero/020560765379-thales-reconstitue-une-ville-en-3d-a-partir-d-images-satellites.htm

Lire la suite

2010 année de la 3D

Publié le 10 Mars 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Le Film Avatar et le CES de Las Vegas de Janvier l’ont annoncé. 2010 sera l’année de la 3D.


Sony
a présenté à Tokyo 8 télévisions LCD capables de reproduire des images en 3D. Ces modèles seront vendus au Japon dès Juin. Juste à temps pour la coupe du monde de football en Afrique du Sud :-)

Puis Sony a également déclaré être déjà en train de plancher sur des jeux 3D, notamment pour la Playstation 3 (Sony PS3).

En parallèle en France, Samsung vient d’annoncer l’arrivée de ses TV 3D pour le mois d’avril. Prix de départ : 1500 euros pour une 40 pouces (102 cm) et 50 euros par paire de lunettes.

Une conversion 2D/3D en temps réel sera possible sur la série U9000 (bien pour les jeux vidéo).

Lire la suite

Google Earth API : une certitude, vers le Full Web-3D !

Publié le 7 Mars 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Une fois c'est pas coutume, nous allons commencer par la conclusion.
Le WEB sera définitivement en 3D !


Afin de préserver le spectaculaire et d'éviter à certains de se noyer dans des algorithmes cérébraux ennuyeux, nous allons d'abord présenter les résultats pour ensuite remonter au "comment faire" pour parvenir à un tel résultat.

Le Web 3D n'a d'intérêt que si l'on réussit à créer un environnement sur le WEB suffisament proche de la réalité (donc en 3 dimensions), pour qu'à terme les deux soient superposables., ne laissant plus aucune place au conventionnelles pages en 2 dimensions (2D).

Voici une démonstration pour le moins spectaculaire des désormais possibilités offertes par l'application WEB de Google Earth. Thanks to Google Corp !

Google-Earth-plugin-demo-new3s13
Le propriétaire de la parcelle cadastrale (en violet) se nomme visiblement Google. La vue qui nous est offerte est en perspective (de type isométrique). En fait nous sommes ici dans l'application de Google Earth, en train de manipuler le globe terrestre. Nous pouvons choisir le mode de visualisation (fly, examine). Rien de nouveau sur ce point déjà très complet, made in Google.

Google-Earth-plugin-demo-new3s12
Jouer avec notre périphérique nous amène à pouvoir découvrir toute la richesse de la région. Les fonctionnalités désormais classiques de Google Earth nous permettent de nous orienter selon la vue de notre choix, de zoomer, comme dézoomer. Le pont a été construit en Google Sketchup. Des vues complémentaires telles Google Street View nous permettent de voir les meilleurs points de vue.

Google-Earth-plugin-demo-new3s11

Revenons progressivement à une vue orthogonale (perpendiculaire à la carte). ... La carte se redresse, la sensation de relief - bien présente - disparait peu à peu.

Google-Earth-plugin-demo-new3s10

La vue est complètement perpendiculaire. En jouant avec un seul bouton, nous pouvons passer désormais de Google Earth à Google Maps et son lot de fonctionnalités désormais bien connu sinon maitrisé.

Google-Earth-plugin-demo-new3s1

C'est le plugin Google Earth qui rend tout ceci possible. Ce n'est pas Windows de Microsoft.

Google-Earth-plugin-demo-new3s9
Simple explication (par Google) sur l'interfaçage des technologies requises.

Google-Earth-plugin-demo-new3s8
De retour sur notre parcelle cadastrale, mais cette fois sous Google Maps. Les nouvelles fonctionnalités désormais disponibles permettent de se créer son propre territoire. Ici appelé "My Earth Demo". On voit une parcelle mauve, créee par des points plaqués sur un plan 2D à plat. Les points sont éditables. La périmètre se modèlise à la façon d'un modeleur classique.

Google-Earth-plugin-demo-new3s7
La désormais très classique vue verticale de Google Maps. Après avoir choisi d'afficher mes propres bornes et autres icones, me voici prêt pour une parcellisation de notre terrain.

Google-Earth-plugin-demo-new3s6
Je choisi d'utiliser Google pour positionner, par exemple, mon entreprise, et d'y rattacher toutes les infos qui me semblent utiles de lui être associées.

Google-Earth-plugin-demo-new3s5
Je suis sur la page de Google Earth pour télécharger la dernière version et me documenter sur les outils qui vont m'être utiles pour faire rayonner mon entreprise.

Google-Earth-plugin-demo-new3s4

Afin de pouvoir présenter mon savoir-faire au plus grand nombre, je n'hésite pas à télécharger le plug-in qui va me permettre de préparer ma mise en scène. Ce plugin, c'est un ActiveX comme les autres. Ni mieux , ni moins bien expliquée que pour un autre (Turntool par exemple), la méthode est toujours la même. Suivre la progression de l'installation depuis la zone immédiatement située sous les onglets de mon navigateur. Répondre OUI ou YES au fil des questions. Ce plug-in est de taille modérée. Son installation demandera sans doute 60 sinon 120 secondes sur des machines standard (pour une même configuration, installer le plugin Turntool demandera de 10 à 30 secondes). Pendant ce temps, je ne m'impatiente pas et ne clique surtout pas partout.
Si je devais m'énerver, ce qui ne servirait à rien sinon perdre du temps, je n'aurais qu'à m'en prendre qu'à moi-même.
Pourquoi en telles circonstances ? Sans doute que mon ordinateur aura été mal choisi, aura été laissé à l'abandon quelques semestres, sans entretien. En tant que professionnel, mon ordinateur n'est pas une poubelle. C'est mon outil de travail. Sur mon desktop, changer de carte graphique ne me coûterait que 70 euros TTC pour avoir une machine spectaculairement efficace capable de digérer les effets graphiques (GPU) les plus bluffants. Toujours sur mon desktop, j'aurai pris soin de nettoyer tous les démons qui tournent et mangent toute la puissance théorique de ma machine. Un freeware tel AD-Aware permettra de faire le ménage requis. Si je suis 100% asservi aux laptop (ordinateurs portables), il me faudra alors consacrer un budget à partir de 650 euros TTC pour avoir une machine capable de naviguer sur le Web-3D. Je devrais avant d'acheter mon matériel, penser à demander quelles sont les caractéristiques majeures de mon outil (vitesse disque dur, RAM, carte graphique). J'aurais préalablement spécifier que je ne suis pas un joueur vidéo (quoique un peu...!!) et que je compte bien utiliser mon ordinateur pour surfer sur du Web-3D, avec l'objectif de me faire remarquer comme professionnel !

Google-Earth-plugin-demo-new3s3
La petite phrase qu'il faut impérativement lire... et avoir envie de lire.
C'est fou ce que parfois on peut cacher - sous quelque chose de ridiculement petit sinon insignifiant -.
En personne éclairée, après avoir lu, je décide de suivre la procédure pour me prouver que j'ai bien fait, je prends des notes afin de pouvoir en parler autour de moi. Prêt à communiquer sur mes exploits et expériences réussies.

Google-Earth-plugin-demo-new3s2
Je suis clairement invité à exécuter un Active X. Mon cerveau me dit que je ne risque rien et m'invite à la prudence normale. Une enquête préalable m'aura indiquée qu'il n'y a aucun risque. Je connais l'éditeur ou bien l'éditeur m'est recommandé par quelqu'un de mon réseau social. Je clique, prêt à vivre une expérience sans retour possible au Web-2D.

3D-office-tower-features-new3s
De nombreuses  fonctionnalités me sont proposées dans le Bureau 3D que je visite. Parmi elles, Google Maps.
Je clique.

3DTC-NEW3S-Office-Tower
Un tour d'horizon, en vraie 3D me laisse découvrir une véritable vitrine technologique... Je poursuis ma promenade.

Inapa bureau 3d ofice tower energized by new3s
Je passe de mini-showroom en mini-showrooms en vraie 3D. Au fait, ça porte un nom : au label 3V-Vraie-Visite-Virtuelle-Valued-Virtual-Visit.
Ici le showroom de la société INAPA www.inapa.fr . La première personne visible est son Directeur Marketing et Stratégie pour qui, être sur le WEB-3D, est plus qu'un stratégie. Voir témoignage et la réalisation Bureau 3D Custom energized by New3S)

Networking-3D-LUISETTI-New3s
A chaque rencontre, lors de la soirée virtuelle, j'ai cliqué sur les boutons que chacun des networkers arborait. J'y ai vu le réseau, leur réseau... jusqu'au moment où l'un d'entre eux m'a aiguillé sur son Bureau 3D. Son Espace 3D de travail sur le WEB-3D !

luisettti networks 1coach new3s

luisettti networks romain de saulieu bnifrance new3s
Tout d'abord, j'ai vu des Espaces 3D à façon de Stands 3D et de Bureaux occupés par de vraies personnes :
COM'PROMIS , Alano EDZERZA www.edzerza-gallery-3d.com de VANCOUVER, Romain de SAULIEU de www.bnifrance.fr  à AUTEUIL, Jean-Philippe LAMBELET de www.1coach.ch en SUISSE, Laurent MELLAH de www.savnetwork.com , Caroline ZAWADZKI, Nathalie MALENICA des FEMINISSIMES, Jean-Claude MOREL de http://affairesetconvivialite.over-blog.com/ et tant d'autres...

Turntool plugin new3s

Afin de venir à la rencontre des habitants de cette autre planète numérique, j'ai d'abord été invité à télécharger un plug-in nommé TURNTOOL. 10secondes ont fait l'affaire sur ma machine bien entretenue.

Histoire Réelle - Histoire vécue. Mon nouveau mode de vie.
C'était l'autre jour... dans le Monde réel. Un grand spécialiste des réseaux sociaux en France, Olivier Luisetti, m'a interpellé sur une solution fraichement parue, nommée Networking 3D. Localisée sur le WEB-3D, sous le nom de Luisetti Networks Tower, elle me permet - m'a t il dit - de rencontrer en 3D des personnes tout aussi curieuses que moi. Tout y est. Même l'Hôtesse virtu-réelle (tantot réelle, tantot virtuelle) qui me guide et nous fait découvrir cet univers incroyable. Elle se nomme Marie-Christine DORANGE ! 
Je suis allé voir...

new3s graphe multi sensoriel petitetaille
A force d'entendre parler de e-Business-3D j'ai fini par aller me renseigner... pour découvrir un univers hors du commun.
Lire la suite

"Une charte éthique de la 3D" : pour ou contre de la vraie fausse 3D

Publié le 1 Mars 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Qui n'a pas été mal conseillé par une image trompeuse d'une fausse perspective. Avant que la 3D Temps Réel ne devienne - peut être - un terrain douteux, destiné à vivre de mauvaises réalités sinon sensations, une charte de la 3D est apparue. Et c'est tant mieux ! On regrettera toutefois l'absence de charte pour la 3D sur le WEB.
Explications.

"En matière d’aménagements urbains,
la 3D s’impose comme une étape incontournable, notamment dans les processus de sélection des projets et dans les pratiques de concertation.

Le problème est que la 3D, mal utilisée, peut embellir singulièrement la réalité voir la déformer. Conscient de ces risques, les acteurs de la 3D ont élaboré une charte d’éthique de la 3D à destination des collectivités locales, des géomètres, architectes et urbanistes.

Les signataires s’engagent « à créer des images de synthèse ou des scènes tridimensionnelles qui ne soient pas susceptibles d’influencer à son insu le décideur, le maître d’ouvrage ou le public utiliser uniquement des données fiables et actuelles, privilégiant l’usage de données officielles, de qualités adéquates et suffisantes, représentatives du territoire concerné par le projet ». Pour garantir des maquettes réalisées en toute transparence, ils s’engagent « à documenter les données d’origine intégrées à la scène tridimensionnelle et l’image de synthèse, préciser les objectifs de la scène tridimensionnelle, indiquer les éléments subjectifs appropriés appliqués à la scène tridimensionnelle, accompagner la scène tridimensionnelle d’une légende adéquate, mentionner toute transformation des données renoncer à l’usage de données qui lors de leur acquisition porteraient atteinte à la sphère privée des personnes ".

Sources : Blog TIC des grandesvilles
http://blog.grandesvilles.org/834/information-geographique/pour-une-3d-credible/

Lire la suite

L'ACTU des Mondes Virtuels est sur B-R-ent

Publié le 10 Février 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

B-R-ent
Les Mondes Virtuels - Les Monnaies Virtuelles - L'activité sur l'autre Monde en 3D immersif - L'économie de l'immatériel - Les enjeux de demain lisibles depuis hier, déja .

L'ACTU des Mondes Virtuels est sur B-R-ent.
Lire la suite

«La 3D, formidable outil de démocratisation culturelle»

Publié le 10 Février 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Interview réalisée lors des Rencontres Nationales “Culture & Innovation(s)”, le 29 janvier 2010, par Anne-Sophie Thorel, C5 Esarts, Promotion 2009 2010


Extraits et morceaux choisis de l'interview de Fabien Noyer, responsable de la partie vente des outils et des solutions de Dassault Systèmes 3D VIA Virtools sur la zone Europe, Moyen Orient et Afrique

".../... La technologie 3D a d’abord été développée pour l’industrie, notamment spatiale. Elle enrichit maintenant la culture et peut transformer radicalement la visite réelle (bornes et écrans) ou virtuelle (sites Internet) des musées et des lieux culturels.../...

.../... Ce qu’on appelle immersive, c’est une application 3D dans laquelle on a réellement la sensation d’être immergé. Le meilleur exemple est le film « Avatar », mais là en revanche on est dans le cinéma.

Notre technologie est également une application 3D temps réel. A la différence du cinéma, on peut intervenir au niveau de la scène et de l’écran en temps réel. Notre application permet de donner le contrôle à l’utilisateur qui devient un pilote actif de l’application et donc mairtise sa visite virtuelle.../...

.../... Nous travaillons en ce moment pour la COFRES qui est le gestionnaire public du Pavillon de France de l’exposition Shanghai 2010. Dans cette exposition, les Chinois ont demandé la numérisation et la “virtualisation” de l’intégralité des pavillons. La France a dit oui et a décidé de proposer en plus du bâtiment physique présent à Shanghai, une expérience interactive temps réel sur le web, qui permet de découvrir le Pavillon et aussi d’avoir une expérience supplémentaire. Le Public internaute du monde entier pourra avoir un accès libre au Pavillon mais aussi des acces directs vers des organismes partenaires du Pavillon français, notamment des entreprises industrielles et des institutions telles que le Musée du Louvre.
Le lancement est prévu le 1er avril 2010, un mois avant l’ouverture de l’exposition Shanghai 2010..../...

.../... De manière plus générale, l’intérêt de la 3D immersive et en temps réel est la démocratisation par le biais d’Internet en donnant accès à des lieux culturels ou des oeuvres à des personnes qui sont loin ou qui pour des questions de budget ou d’handicap n’auraient pas eu accès à ces contenus. Par l’utilisation de la 3D dans les outils multi-touch (tables tactiles) et dans téléphones mobiles, nous voulons également favoriser l’ouverture de la culture à un plus jeune public. On le voit avec le succès d’Avatar, les jeunes et futures générations sont attirés par le phénomène et l’expérience de la 3D temps réel, que ce soit par l’Internet, les mobiles, les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…) et cette jeune génération n’a pas forcément la volonté et la motivation de se déplacer physiquement. Cette technologie permet alors de donner accès et envie à ce type de personnes qui ne se seraient pas déplacées naturellement. Les musées et lieux culturels peuvent ainsi entrer dans l’ère des jeux vidéos ! .../...

Lire toute l'interview

Lire la suite

Edition IMAGINA 2011 : Les mondes virtuels 3D immersifs à l'Honneur...

Publié le 6 Février 2010 par 3D WEB CENTER dans Références - Sources

Monaco, le 5 février 2010



Extraits du Communiqué de Presse :

".../...
Les mondes virtuels immersifs représentés cette année par la fabrique du futur seront à l’honneur dans le cadre d’imagina 2011.

Avec 3 avant-premières mondiales, une conférence en skype, projections de power points et youtube, le tout en 3D relief ; le cinéma et le jeu vidéo sont toujours à l’honneur à imagina.

La soirée des imagina awards fut couronnée par un prix spécial décerné à AVATAR.
Malgré un contexte économique toujours difficile, imagina conforte sa position avec un maintien de son visitorat sur un hall d’exposition plus important. .../...




imagina en chiffres :
98 médias
150 journalistes
1650 participants
798 sociétés
36 pays


Cliquez ici pour télécharger la vidéo : Laurent Puons, Directeur Général imagina

Rendez-vous à imagina 2011
du 1er au 3 février

Plus d'informations
press@imagina.mc
+377 93 10 40 60

Voir le Communiqué de Presse ...

Lire la suite

Afficher plus d'articles

1 2 > >>